Lorsque la mort s’annonce, comment faire face à ses peurs ?

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Lorsque la mort s'annonce, comment faire face à ses peurs ? - 2024

Galvanisé par la peur de la mort, l’homme peut décupler ses forces de plus de 60% d’après certaines études. Plusieurs témoignages vont dans ce sens, sur internet et ailleurs. C’est grâce à l’adrénaline que le corps humain est capable d’un tel exploit. Mais, lorsque la mort est annoncée à cause d’une maladie, chaque être humain ne réagit pas de la même manière. D’autres peuvent mettre toute cette énergie qu’il accumule grâce à l’adrénaline dans des choses positives. D’autres, en revanche, peuvent perdre leurs moyens.

Comment dépenser son énergie dans des choses positives ?

Se préparer soi-même à sa propre mort

On dit souvent que la mort est imprévisible et que si on l’avait su plus tôt, on aurait pu éviter mille et un problèmes. On aurait pu soulever avec le défunt les questions de succession par exemple ou se passer des instructions pour ses activités professionnelles. Parfois, les héritiers ne savent même pas combien d’argent le défunt possède et où ils sont actuellement. Si on a la chance de savoir quand nous allons mourir, on peut faire en sorte que tous ces problèmes soient évités. On peut même débattre avec nos familles à l’issue de certaines propriétés, de certaines activités, du partage de l’argent, etc., ce qui pourrait être assez bénéfique pour tout le monde.

Préparer ses propres obsèques

Partir en beauté, c’est sûrement le rêve de beaucoup. Organiser soi-même ses propres obsèques est un excellent moyen de marquer les esprits. Nous pouvons même voir grand parce qu’on dépense notre propre argent et nous pouvons inclure toutes nos idées dans les différentes cérémonies. Attention, il est interdit de payer à l’avance des agences funéraires. Pour ce faire, il est nécessaire de passer par des agences financières comme les assurances par exemple. En revanche, certaines tâches peuvent être préparées, comme le fait d’imprimer à l’avance l’avis de décès ou les cartes remerciements de décès. Mais surtout les préparatifs comme la commande du cercueil, de la pierre tombale ou de la plaque funéraire, aidez-vous d’internet et des sites spécialisés dans le décès comme plaquedeces.fr pour préparer les obsèques serreinement.

Vivre à fond ses derniers instants

Lorsque la fin approche, on se dit souvent qu’il nous manquait du temps pour faire ceci ou cela. Mais si nous savons à l’avance quand nous allons mourir, pourquoi ne pas redoubler d’efforts pour tout achever ? Connaissez-vous ce petit jeu qui consiste à faire une liste des dernières choses qu’on souhaite faire avant sa mort ? Et bien, c’est le moment ou jamais de les réaliser. Bien sûr, vous allez produire une nouvelle liste qui tient compte de vos contraintes actuelles. Vous n’allez pas prendre la même liste que celle de vos 20 ans qui incluent l’escalade du Mont-Blanc et des sauts en parapente.

La clé : vaincre ses peurs

Certains observateurs disent que c’est la peur de la mort, et surtout de ce qui se passe après, qui pousse les gens à avoir foi. En effet, personne ne peut être sûr à 100% de ce qui nous attend après la mort. Si on annonce à une personne qu’elle va mourir dans un mois, la peur peut l’envahir et elle passera à côté de ce dernier mois qui aurait pu être constructif.

Plusieurs personnes qui devaient bientôt passer l’arme à gauche parlent de crises de panique et de pensées noires à cause de la peur. Ils ont passé leurs derniers instants à s’enfermer tout seuls dans leurs coins, avec un sentiment de colère, de mépris ou d’indifférence avec autrui. L’insomnie s’ensuit assez logiquement, puisque le cerveau ne connaît pas de repos. Le résultat s’apparente ensuite à un épuisement psychologique, qui rend la personne encore plus mal.

Sigmund Freud, le père de la psychanalyse, a dit : « Nous pouvons craindre la mort d’un proche, l’anticiper et la pressentir avant même qu’elle n’ait lieu, et nous savons que nous aurons à affronter le vide qui s’ensuivra. Mais se préparer au vide qui se rapporte à nous-mêmes ne va pas de soi ». Ainsi, cette peur est naturelle. Seulement, il faut qu’on trouve en nous-mêmes le moyen de la vaincre. Comme décrit dans la première partie de cet article, il faut profiter de ce temps qui nous reste pour aller de l’avant. 

Le dernier conseil que nous pouvons donner : c’est de se rapprocher de ses proches et de les impliquer dans ces derniers projets de fin de vie. Sachez qu’autant que vous, ces derniers peuvent souffrir de cette tragédie qui s’annonce. Ils méritent de ce fait de profiter de vous une dernière fois. Comme vous, ils ont peur et ont besoin de vaincre cette peur afin de profiter amplement de ce que vous allez pouvoir leur offrir.

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