Radiesthésie : Initiation à l’utilisation d’un pendule

La première étape est celle du choix du pendule : parce qu’il en existe de toutes sortes, il est important de le choisir avec le cœur et de s’écouter, d’être déjà attiré par lui. L’idéal étant par conséquent de pouvoir le voir, le toucher si possible, le manipuler un peu avant l’acquisition.

Les questions à se poser avant l’achat du pendule sont :

• Est ce que je suis attiré par ce pendule ?
• Est ce que je me sens à l’aise avec lui ?
• Est ce que sa taille me convient ?

Attention à son poids, qui va dépendre de votre sensibilité (il sera plus réactif s’il est léger). Certains préfèrent les pendules lourds, d’autres non, il n’y a pas de règle car c’est une question de goût.

Aujourd’hui on en trouve en métal, en bois, en pierre, en céramique, en forme de fuseau comme les pendules égyptiens (le pendule de Thot, car fait sur le modèle d’un pendule retrouvé dans un tombeau, ou celui d’Isis), rond, en pointe, en forme de goutte…

Certains disent même que c’est le pendule qui nous choisi alors il serait dommage de passer à côté de cette rencontre.

Les pendules en pointe seront bien sûr plus précis pour des recherches sur plan par exemple, alors que les pendules ronds s’adaptent aux soins énergétiques. Un pendule en pierre de lithothérapie devra être purifié et rechargé comme toute pierre semi-précieuse.

L’intérêt d’un choix réfléchi est de pouvoir être naturellement en symbiose avec le pendule, et de créer un lien entre vous deux. Le garder et le manipuler souvent, afin d’y mettre vos énergies personnelles et d’établir un contact fort. Si le pendule est en pierre semi-précieuse attention aux effets de cette pierre, renseignez vous bien sur ses propriétés.

Il est utile aussi de se doter de planches de radiesthésie, afin de pratiquer facilement par la suite (le livret « Le Pendul’or » de Dominique Coquelle est une référence).

Comme pour tout apprentissage la régularité et l’entrainement sont les clés de la réussite.

Je conseille de commencer par des questions fermées (pour obtenir un oui ou un non). Attention à la formulation : la question doit être très précise, quitte à la décomposer au maximum.

Par exemple : « Est ce que je vais déménager ? », puis « Est ce que je vais déménager cette année ? », puis « Est ce que je vais déménager à Lyon ? » et non « Est ce que je vais déménager à Lyon cette année ? » car dans cette dernière phrase il y a en fait plusieurs questions, qu’il faut fractionner le plus possible…

Commencez par des questions neutres qui n’impliquent pas d’émotions de votre part, sans enjeu.

Puis vous pourrez passer aux exercices plus élaborés, progressivement. Par exemple pour chercher un objet qu’un complice aura caché chez quelque part : tracez un plan, basique, du lieu de recherche et passer votre pendule au dessus de ce plan en lui demandant de vous indiquer où se trouve l’objet. Vous pouvez au préalable charger votre pendule sur cet objet en le faisant tourner au dessus jusqu’à ce qu’il s’arrête. Pensez bien à établir votre convention au préalable !

Il est capital de savoir comment votre pendule vous indique les choses, donc demandez lui comment il indique la présence de ce que vous cherchez (en tournant dans le sens des aiguilles d’une montre ? En s’arrêtant? En balançant de haut en bas ?).

Cette pratique de recherche au pendule peut bien sûr être utilisée pour les personnes (on peut charger grâce à un nom, prénom ou une photo)., pour les animaux, pour les sources (comme avec les baguettes de sourcier, dont l’utilisation diffère peu du pendule). On peut aussi s’exercer à calculer les taux vibratoires d’un lieu (c’est là que les planches sont nécessaires), les failles énergétiques, le meilleur emplacement pour profiter des énergies telluriques, les douleurs d’une personne, etc.

Pour finir j’insiste sur l’importance d’une pratique régulière, si possible accompagnée par un professionnel (voir mon site rubrique Mentorat). Notamment pour éviter l’écueil de l’autosuggestion, qui influence le pendule dans sa réponse.